Nouvelles espèces au compteur

on
Categories: SESSIONS

En vacances en Martinique, ce fût pour moi l’occasion d’aller traquer et de capturer de nouvelles espèces.

J’avais emporté dans mes valises un moulinet spinning muni d’une tresse de 17 cts et j’ai acheté une canne sur place d’une puissance 20-80 grs.

J’ai commencé la traque depuis le bord et c’est comme ça que j’ai réussi à prendre ma première bécune dans une mangrove sur un divinator S blanc ramené très vite.

Je me rends vite compte que le LS rapporte peu de touches et c’est donc au leurre dur que je ferais les autres petites bécunes. C’est lors d’une sortie en bateau avec José que la taille des captures va considérablement augmenter !

Rien de plus plaisant que de naviguer dans ce décor de rêve. La pêche dans ces conditions est quand même particulièrement jouissive ! L’organisation de José est au TOP.

Ce sera au large du Cap Est que José va nous permettre, mon père et moi de capturer des bécunes plus grosses, à la traîne.

Au total, on touchera une bonne quinzaine de bécunes…

jusqu’à ce que José repère des regroupements d’oiseaux non loin du bateau….Les lignes de traîne sont relevées et cap sur les oiseaux…le temps pour moi de monter un leurre dur sur mon ensemble spinning et la chasse commence…premier lancer sous les oiseaux et c’est une bourre phénoménale que je prends, ferrage en retard et c’est raté. Je relance de suite et re BAAAMMM, cette fois-ci c’est au bout…je me fais corriger proprement sur ma “petite canne”. Je goûte enfin aux joies d’un combat avec une bonite et c’est juste délirant la pugnacité et la force de ce poisson. Ca faisait très longtemps que je n’avais pas pris de tels rushs !

Le poisson sonde comme un malade sous le bateau, un régal..puis les premiers reflets bleutés turquoises arrivent sous la surface et c’est bel et bien une bonite annoncée par José, qui arrive en surface. Nouvelle espèce !

Nous ferons par la suite des petits thons “ti-thons” au jig dans 100 mètres d’eau puis c’est déjà l’heure de rentrer.

Un grand merci à José de nous avoir permis de vivre ça… Je n’aurais pas touché de daurades coryphènes, mais j’ai quand même pris un plaisir monstre à ajouter au compteur de nouvelles sensations et de nouvelles espèces.